Quand j’étais au fond du gouffre, dans les entrailles de la mort,
quand en moi s’épuisait le souffle et que ma voix n’était que cri,
Tu m’as entendue, ô mon Dieu !
Tu as fait briller sur moi Ta lumière.
Tu as mis sur ma route de nombreux signes de Ta présence.
Tu m’as serrée dans tes bras, entourée de Ta tendresse,
et guidée sur le chemin de la vie en plénitude.
Alors, Ton souffle m’a saisie.
Ta joie a jailli du fond de mon coeur ouvrant portes et fenêtres.
Et j’ai marché en paix avec Toi.
Aujourd’hui, qu’il pleuve ou qu’il vente j’avance sur la route.
Je ne crains ni l’orage ni les ennemis,
car Tu es là qui veilles sur moi et me nourris.
Et si parfois je faiblis, c’est quand je baisse les yeux,
et cesse de puiser dans Ton regard, l’eau vive de ton amour.
quand en moi s’épuisait le souffle et que ma voix n’était que cri,
Tu m’as entendue, ô mon Dieu !
Tu as fait briller sur moi Ta lumière.
Tu as mis sur ma route de nombreux signes de Ta présence.
Tu m’as serrée dans tes bras, entourée de Ta tendresse,
et guidée sur le chemin de la vie en plénitude.
Alors, Ton souffle m’a saisie.
Ta joie a jailli du fond de mon coeur ouvrant portes et fenêtres.
Et j’ai marché en paix avec Toi.
Aujourd’hui, qu’il pleuve ou qu’il vente j’avance sur la route.
Je ne crains ni l’orage ni les ennemis,
car Tu es là qui veilles sur moi et me nourris.
Et si parfois je faiblis, c’est quand je baisse les yeux,
et cesse de puiser dans Ton regard, l’eau vive de ton amour.
Béatrice Gahima
