Il y a toujours,
puisque je le dis, puisque je l'affirme,
au bout du chagrin,
une fenêtre ouverte
une fenêtre éclairée.
Il y a toujours un rêve qui veille,
désir à combler ou à satisfaire,
un cœur généreux,
une main tendue,
une main ouverte,
des yeux attentifs,
une vie,
la vie à se partager
Paul Eluard
puisque je le dis, puisque je l'affirme,
au bout du chagrin,
une fenêtre ouverte
une fenêtre éclairée.
Il y a toujours un rêve qui veille,
désir à combler ou à satisfaire,
un cœur généreux,
une main tendue,
une main ouverte,
des yeux attentifs,
une vie,
la vie à se partager
Paul Eluard